5 situations de vie qui déclenchent Hashimoto

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une femme hashimoto est l'ombre d'elle-même

Au cours de notre vie, chacune de nous entre dans des schémas de fonctionnement que nous héritons de nos parents, nos proches, l’école ou plus généralement la société. L’endocrinologue allemand Berndt Rieger s’est intéressé à ces structures de vie mal vécues par les femmes souffrant de Hashimoto et qui seraient des déclencheurs de la maladie.

Ces schémas forment des carcans rigides qui organisent notre vie sans que nous en soyons conscientes.

Vous trouverez ici

  1. les cinq situations de vie observées par le Dr. Rieger, dans lesquelles les femmes se retrouvent n’être que l’ombre d’elles-mêmes
  2. ce qui m’a particulièrement interpelée
  3. les liens entre ces cinq déclencheurs
  4. des pistes pour sortir de nos schémas pathogènes

Les 5 types de femmes en mal-être

Dans son livre “Hashimoto Healing”, disponible gratuitement, l’endocrinologue Berndt Rieger décrit 5 archétypes de femmes qui viennent le voir en consultation:

  1. la maman débordée, envahie, mangée par ses enfants qui n’a plus de vie propre ni de carrière;
  2. la compagne dépendante financièrement, qui, bien que n’ayant plus d’engagement émotionnel vis à vis de la figure masculine à laquelle elle est liée, reste par dépendance financière;
  3. la cheffe de famille qui voit réapparaître dans sa vie un ancien amour, rendu désormais impossible par l’existence d’une famille avec enfants fondée avec un autre homme;
  4. la femme qui, pour des raisons économiques du foyer, habite dans le foyer de ses beaux-parents, se retrouvant infantilisée et dépossédée de ses enfants par sa belle-mère;
  5. l’aïeuile ménopauséeen proie aux doutes sur la pertinence de ses choix de vie passés.

Selon Dr. Rieger, il est possible que ces situations mal vécues soient l’origine émotionnelle première de la maladie. Les comportements (alimentation, hygiène de vie dégradée, etc…) ne seraient qu’une conséquence ou des cofacteurs de moindre importance par rapport à ce mal-être premier.

Il décrit dans son livre comment il a été amené à faire cette hypothèse, suite à ses discussions avec plusieurs milliers de femmes qui sont venues à son cabinet durant sa carrière. Il retrace aussi plusieurs cas de femmes qui, par des moyens divers, ont pu sortir de leur situation problématique. Elles auraient alors miraculeusement guéri.

Des déclencheurs de Hashimoto qui interpellent

L’inconscience de son propre déclencheur

A la lecture de ces 5 modèles, j’ai tout d’abord eu une réaction de distanciation.

“Ce livre n’est pas très scientifique, rien n’est documenté, pas de méthodologie.. De plus tout cela ne me concerne pas! J’ai toujours pris grand soin d’éviter ces pièges classiques pour les femmes qui restent sur les chemins établis. Je suis une femme libre, indépendante, consciente d’elle-même et bien organisée…”

Comme souvent, la bonne question à se poser n’est pas

“Est-ce que cela me concerne?”

mais plutôt

“En quoi cela me concerne ?”

En y réfléchissant bien, j’ai finalement accepté la pertinence des propos de Dr. Rieger et de regarder ma vie en face. Le 4ème archétype m’interpelle.

Disons, que je suis une variante originale du 4ème archétype.

Et vous, avez-vous retrouvé votre profil dans ces situations ?

Si vous ne vous retrouvez dans aucune des 5 catégories, je partage avec vous ces quelques lignes sur ma situation personnelle. Elles pourront peut-être vous aider à prendre du recul sur vos déclencheurs. Cette prise de conscience m’a fait faire de grands pas en avant. J’ai compris le terreau émotionnel sur lequel Hashimoto est venu germer.

La femme de carrière…

Ma maman avait arrêté son travail d’expert comptable dans un grand groupe (qui ne lui plaisait qu’à moitié…) pour élever ses quatre enfants. Elle avait tout son cœur dans ce rôle, mais je ne me projetai pas du tout dans ce qu’elle faisait. Par répulsion pour le modèle maternel, où il est difficile d’avoir d’autres projets que des projets à travers ses enfants, mon mari et moi avions décidé de faire venir mes beaux-parents de Chine pour qu’ils puissent s’occuper de notre premier né. Ainsi, je n’ai en fait passé qu’un mois en tête à tête avec mon fils. L’arrivée de mes beaux parents a été un soulagement car j’allais pouvoir continuer à mener ma carrière tambour battant sans avoir toutes les contraintes classiques de la jeune maman.

Cette période était par contre difficile pour moi professionnellement. J’étais à la fois ingénieure dans un centre de recherche et je m’étais aussi engagée en parallèle dans l’écriture d’un mémoire de thèse.

Je n’avais pas l’impression d’être particulièrement envahie par la venue de mon fils. Les premiers mois, il dormait souvent collé contre mon ventre dans une écharpe pendant que j’écrivais, puis il a été très largement pris en charge par mes beaux-parents. Bien que j’allaitais le matin et le soir, mes beaux-parents se levaient la nuit pour donner un biberon et nourrissaient le bébé la journée pendant que je travaillais. En apparence une situation idéale donc. J’avais bien totalement évité l’archétype n°1 du Dr. Rieger, que je redoutais plus que tout, mais quelque chose n’allait pas. J’étais tout le temps en train de travailler, mais peu efficacement.

…qui habite avec ses beaux-parents…

Peu après que mes beaux-parents sont venus nous aider, quelques premiers ennuis sont apparus avec eux. Ils étaient très gentils et avaient pris en charge une grande part de l’intendance, en particulier la cuisine des repas. Cependant, leur régime alimentaire très différent du mien m’a fait prendre 10kg en 4 mois, alors que je n’avais quasiment pas pris pendant ma grossesse…

Mal à l’aise globalement dans ma situation, j’ai changé de travail, mis fin à ma thèse et nous avons déménagé.

Dans mon nouveau job, j’étais en charge de développer une activité de A à Z au sein d’un cabinet de conseil, je travaillais dur, j’étais plutôt fière de mes résultats et satisfaite professionnellement.

Mais parallèlement à cela, les habitudes de vie prises par le foyer me convenaient de moins en moins : alimentation, éducation de mon fils, organisation et entretien de la maison, relation des adultes avec les enfants, n’allaient pour moi pas dans la direction que j’aurais souhaitée. Mais, comme j’étais de fait très peu chez moi, je n’avais pas les moyens d’agir sur tous ces sujets. Et, au fil du temps, un sentiment de “dépossession” de mon foyer s’est fait sentir.

Je me sentais à la fois seule pour assumer beaucoup de choses essentielles : finance, administratif, intendance…, et pas alignée avec mon mari, car pour lui, tout paraissait normal. Il ne comprenait pas le besoin de faire plus car ses parents étaient là! Il n’avait pas conscience de ces choses périphériques à gérer ou du besoin d’organiser différemment notre vie personnelle car nous vivions dans une autre époque et un autre environnement que celui dans lequel il avait grandi.

…et devient Hashimoto

Mon mari ayant choisi à ce moment là de reprendre des études, je ne vivais pas à strictement parlé avec mes beaux-parents par raison d’économies financières comme le présente le Dr. Rieger, mais j’étais devenue la seule ressource financière du foyer de mes beaux parents ! Et ce foyer n’était pas du tout en train de fonctionner comme je l’aurais souhaité, je finançais quelque chose qui n’était pas mon foyer… tout en faisant l’autruche sur beaucoup de problèmes personnels. C’est à ce moment là que Hashimoto a fait irruption dans ma vie!

Des déclencheurs familiers

Les autres femmes Hashimoto de votre famille

La maladie de Hashimoto et d’autres pathologies auto-immunes se développent sur les mêmes terreaux à la fois génétique et de mode de vie. C’est ainsi que l’on retrouve souvent au sein d’une même famille des personnes ayant la maladie de Hashimoto et d’autres atteintes de la maladie de Grave, du diabète, etc…

Parmi les facteurs d’environnement, la manière dont nous vivons le stress, nos acquis intellectuels, émotionnels, les idées et croyances avec lesquelles nous construisons notre identité, jouent sur notre capacité d’adaptation. Comprendre les liens par attraction/réaction avec les femmes dans ses lignées féminines permet de mieux se comprendre soi-même et de cerner quel “héritage” favorable à la maladie nous avons reçu.

Dans quelle catégorie placeriez-vous les femmes Hashimoto autour de vous ou celles atteintes d’autres maladies auto-immunes?

Comment vous positionnez vous par rapport à elles?

Est-ce que vous leur ressemblez? ou bien vivez-vous votre vie de sorte à ne pas leur ressembler ?

Les femmes que vous ne voulez pas être

Il est intéressant de voir comment ces situations de femmes atteintes par Hashimoto se répondent. Une situation peut en cacher une autre. Eviter à tout prix de tomber dans une situation piège a tôt fait de faire tomber dans une autre.

Parmi ces 5 situations, lesquelles vous dégoûtent le plus ? Qui ne voulez-vous surtout pas être ?

Il est parfois plus facile de regarder les autres que de se voir dans une glace.

Je voulais tellement ne pas être coincée avec mon fils (type1) que j’en ai fini par me retrouver à l’extérieur de moi-même et à ne plus avoir de prises sur ma vie au-delà de ma carrière (type 4). Ce n’est pas non plus une coïncidence si ma maman a développé Hashimoto quasiment en même temps que moi ! Elle ne vivait pas sa situation de la même manière et n’a donc jamais été un type 1, mais la maladie l’a rattrapée à la ménopause (type 5).

Retracer l’origine de son déclencheur Hashimoto

De même que l’on peut faire des recherches sur la transmission des gènes impliqués dans Hashimoto, il est aussi possible de retracer les idées et croyances dont nous avons héritées et qui sont venues se “coller” dans notre inconscient.

Ce 4ème archétype dans ma vie se retrouve à d’autres niveaux. Je n’habitais en fait pas non plus réellement chez moi :

  • dans mon corps, c’est pourquoi j’ai par la suite étudié et pratiqué de nombreuses disciplines pour m’y reconnecter: yoga, aïkido, reiki, shiatsu…
  • dans ma carrière, j’ai toujours eu la perception d’être dans un monde étranger en entreprise. J’avais besoin de réadapter mon Univers…
  • dans mes possessions matérielles, mes finances personnelles, etc…

Ce n’est que récemment que j’ai fait le lien avec mon enfance.

En effet, quand j’étais jeune, je ne me sentais pas bien dans l’organisation de la vie chez mes parents. Et, lorsque je “réorganisais” quelques chose, mes parents me répétaient (bien naturellement) la phrase suivante qui s’est incrustée dans mon inconscient :

“Tu feras ce que tu voudras quand tu seras chez toi”

Des déclencheurs Hashimoto à désamorcer

Fonder, habiter et reprendre contrôle de son foyer

Reprendre possession de son foyer est le parcours qui se présente aux femmes qui, comme moi, sont dans la catégorie 4.

  • être dans son corps, ressentir ses organes, sa peau, son souffle, ses pulsations, ses cycles…
  • se sentir chez soi dans sa vie, laisser son âme et sa conscience fixer ses propres objectifs
  • travaillez pour soi, se mettre à son compte
  • se sentir chez soi dans sa maison, avec des objets que l’on a choisi et qu’on aime
  • faire travailler son argent pour son projet et l’utiliser pour financer ce que l’on souhaite voir se développer dans le monde
  • donner à ses enfants l’éducation de son choix
  • insuffler le feu du désir dans ses actions, nourrir le foyer de ses énergies de vie

Lorsque je médite ces questions, une réponse lancinante revient dans mon esprit :

“Tu guériras quand du seras chez toi”

J’ai donc créé ce site pour enfin être chez moi!

5 déclencheurs Hashimoto, 5 voies pour se réinventer

Et vous, de quelle situation voulez-vous guérir?  J’espère pouvoir vous aider dans les commentaires.

La semaine prochaine, je vous aiderai à mieux vous voir vous même en retirant le masque qu’Hashimoto est pour vous.

Laissez-moi un message.

Sources et Crédits

  1. Image par Stefan Keller de Pixabay
  2. Hashimoto Healing: The Holistic Treatment of Hashimoto’s Thyroiditis, Livre de Berndt Rieger
  3. Zaletel K, Gaberšček S. Hashimoto’s thyroiditis: From genes to the disease. Current Genomics. 2011;12(8):576-588. doi:10.2174/138920211798120763.


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16 commentaires

  1. Je ne trouve pas quoi dire de plus que votre article m’à vraiment ouvert les yeux

    1. Merci Menouar,

      je démarre ce blog pour changer ma vie et aider d’autres personnes comme moi. Votre commentaire me motive à continuer !

  2. Je me retrouve dans un voir deux archétypes et je me demande: c’est quoi ce hachimoto ? Du coup je vais aller me renseigner… car je ne sais si je soufre de ce maux, mais en ayant un des archétypes je commence à m’inquiéter… merci beaucoup en tout cas pour m’éclairer sur certains points !!!

    1. Bonjour Eirene,

      si vous avez des personnes dans votre famille diabétique ou qui ont des maladies auto-immune, vous êtes susceptible d’avoir une sensibilité génétique au développement de Hashimoto. Hashimoto touche 5% des femmes en moyenne. Au départ, on ne voit rien, on ne sent rien, mais la maladie s’installe progressivement et détruit la thyroïde jusqu’à ce que les symptômes amènent à consulter : fatigue chronique, perte de sommeil, de cheveux, prise ou perte de poids incontrôlable, vertiges, etc…

  3. Merci beaucoup,

    Super chouette de voir qu’il y a d’autres personnes qui cherchent à comprendre ce qui se cache derrière Hashimoto.
    Merci pour cette reflexion.
    Moi même j’ai été diagnostiquée de Hashimoto lorsque j’avais à peine 9 ans!!! Du coup j’avoue ne pas totalement me retrouver dans les 5 ex ci dessus. Cela fait 17 ans maintenant que je suis supplémentée au quotidien avec 150 microgrammes de thyroxine… ça fait beaucoup et depuis trop longtemps!
    Mais je suis persuadée que la maladie est un symptome qui provient d’une difficulté à m’exprimer sur mes peurs et mes besoins…. Suis qu’au début du questionnement… tant d’années à juste avaler les pilules sans y penser… maintenant j’espère et je pense vraiment pouvoir guérir un jour meme si tous les médecins disent le contraire.
    Merciiiiiiii de tenir un blog je suis trop contente

    1. Bonjour Lara, merci beaucoup de votre témoignage. Je pense que, pour une petite fille qui grandit, voir les modèles féminins coincés autour de soi dans ce type de situations est un stress psychologique. Cela l’a été pour moi en tout cas. Mais à l’époque j’étais persuadée qu’en ne faisant pas comme toutes les femmes autour de moi j’allais pouvoir n’être dans aucun de ces schémas. L’inconscient collectif est très prégnant et le travail à faire sur soi profond pour s’en libérer. Très belles fêtes de fin d’année et merci beaucoup de vos encouragement, ça fait très plaisir.

  4. Bonjour,

    Je découvre votre blog et cette maladie. Première surprise elle touche quand même 5 % des femmes et que je n’en ai jamais entendu parler ! Cela a éveillé ma curiosité. A la lecture des symptômes, j’ai visualisé clairement deux personnes de mon entourage qui sont « soignées » pour des problèmes de thyroïde. Pourriez-vous m’éclairer sur le point suivant : quel test confirme cette pathologie ?
    J’ai déjà envoyé votre lien aux personnes 😉

    Merci pour cet éclairage

    Coralie de « Faut pas pousser MamY ».

    1. Le diagnostic le plus courant pour Hashimoto consiste à doser les auto-anticorps anti-TPO et anti-TG et bien-sûr les hormones thyroïdiennes T3L, T4, TSH. Puis, le diagnostic est confirmé par une échographie de la thyroïde. Au départ T3, T4 et TSH peuvent être dans les normes mais la maladie déjà bien présente qui attaque en sourdine la thyroïde jusqu’à ce qu’elle finisse par ne plus pouvoir produire assez d’hormones. Un bilan type de détection de Hashimoto se trouve ici : https://les-secrets-de-hashimoto.com/grand-et-petit-historique-de-mon-hashimoto/

  5. Bonjour. Je ne me retrouve pas vraiment dans ces types que vous indiquez. J’ai un profil plutôt opposé au vôtre donc je me permets de vous le soumettre parce que pfs on a la tête dans le guidon.

    Ma maman a toujours travaillé quand nous étions enfants. Nous étions derniers de la garderie. J’ai toujours bien vécu cette situation et l’ai considérée comme normale. Je m’engageais sur cette voie à la naissance de mon fils. Il s’est toutefois avéré que c’était plus compliqué que prévu, mon fils étant extrêmement sensible.

    J’ai voulu être présente pour lui. Il est allé chez une nounou chez qui CEA se passait relativement bien puis a l’ecole ou la situation s’est détériorée. J’ai pris la décision de mettre sur pause ma carrière pour faire l’école à domicile à lui et son petit frère.

    Alors certes les catégories 1 et 2 me font de l’oeil mais c’est un combat que j’ai gagné à mes yeux de pouvoir prendre soin d’eux. Certes cela implique des renoncements professionnels mais je ne regrette rien… je sens que cette décision est juste au plus profond de mes tripes. Et ce n’est généralement pas bien vu mais je tiens bon.

    Alors quid des catégories ? Et si ça s’intègre dans une catégorie, comment évoluer alors que je suis en accord avec moi-même ?

    Merci !!!

    1. Bonjour Mamounette,

      bravo pour l’école à la maison! C’est aussi ce que j’ai fini par faire et je pense que de nombreuses familles devraient s’y mettre. Il y a tout un monde à réinventer pour être plus bienveillant envers nous et notre famille. Quelques pistes que nous suivons de notre côté : impliquer nos enfants dans nos activités professionnelles, les adapter pour qu’ils puissent y participer et voir le résultat de l’application de leurs connaissances.
      Concernant les catégories et Hashimoto, je perçois plutôt une voie de résolution des conflits intérieurs (et donc diminution du stress inconscient…) en créant son propre chemin qui dépasse les oppositions et carcans disponibles dans le paysage médiatique.

      bonne journée !
      Céline

  6. Merci je découvre complétement cette maladie, je suis dans plusieurs des situations ci dessus et bien que j’ai l’impression que ça n’est « pas grave » ça m’angoisse pas mal ! Et j’ai énormément de nodules à la tyroide mais mes analyses sont normales. Pourtant régulièrement et surtout depuis 6 mois, je suis épuisée, je grossis, je mange pour me réconforter, j’ai des douleurs importantes dans le dos… Merci pour cet article très intéressant, je vais lire la suite du blog.

    1. Bonjour Rodney, je n’utilise pas personnellement. En fait je n’ai pas d’avis car je n’ai jamais creusé la question. C’est quelque chose que je vais approfondir ultérieurement sous l’angle de l’aide que cela pourrait apporter pour Hashimoto.

  7. Désolé pour toi que tu sois atteinte par les symptômes de Hashimoto…
    Merci pour ton témoignage pertinent et ton analyse qui a pu t’éviter une errance médicale longue et douloureuse…
    Ton approche holistique de ces symptômes sera à n’en pas douter couronnée de succès, comme tout ce que tu entreprends d’ailleurs!
    Je te souhaites un bon rétablissement, et une bonne régulation de tes symptômes à l’aides de ces petites molécules qui nous veulent du bien, et des aménagements de vie qui sont indispensables!
    Et n’oublions pas ce que disait Socrate au passage: »Connais toi, toi même… ». Ta démarche en est la parfaite illustration, à ton corps défendant bien sûr…
    Personne ne souhaiterait passer par de telles épreuves pour améliorer son capital expérience, mais ainsi va la vie…
    Plein de bonnes choses à ta famille et à toi,
    Nicolas.

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